Pas pour rien, le rapport à la langue
Trente poèmes courts intercalent l'occitan et le français. Trente poèmes où la langue interroge la langue, où on assiste à un va-et-vient entre les deux langages, sans frontière claire.
La Périgourdine Adeline Yzac n'est pas à son coup d'essai. Depuis Les larmes de mon père (1995) et D’enfança d’en fàcia (1998), on compte plus de trente livres et quatre prix littéraires.
Les mots semblent arriver natruels, sauvages et, comme par enchantement, ils s'apprivoisent, se composent. D'ailleurs, l'autrice le dit elle-même :
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